28/03/2010

Cacao rime aussi avec libido.

Peu d'entre nous résistent au petit carré de chocolat qui, en fondant doucement sur notre langue, excite nos papilles gustatives et caresse notre palais.Certains sont même accros de "l'effet chocolat", un mystère que l'on perce en étudiant de près sa composition. De fait, il est temps de déculpabiliser.
Le chocolat n'est pas une méchante tentation, mais au contraire un aliment plaisir qui regorge de micronutriments.Boisson sacrée du Dieu légendaire des Aztèques qui lui vaut le nom « aliment des dieux », le chocolat recèle des trésors de bienfaits pour notre santé.Au 17ème siècle, il a gagné tous les cœurs : on le considérait nourrissant, stimulant. On le prescrivait même comme remède au rhume, la phtisie, la diarrhée ou le choléra !





Aujourd’hui on ne démontre plus ses nombreuses vertus:
  • Tonique, par ses minéraux, la théobromine et la caféine.
  • Anti stress ,la présence de sérotonine et phényléthylamine expliquent l'action antistress du chocolat.
  • L’ami de votre cœur et de vos artères….et de votre éternelle jeunesse. Côté santé, la découverte est récente : le chocolat contient des polyphénols qui, comme les tanins du vin, induisent sa saveur amère. Ce sont des anti-oxydants qui empêchent l'altération des cellules sous l'effet des radicaux libres.
  • Et ….aphrodisiaque.
    Le chocolat favorise effectivement l’appétit sexuel ! A l’origine de cette propriété : sa richesse en phényléthylamines. Ces substances stimulent la sécrétion de dopamine, une hormone responsable de la sensation de plaisir.Complément affectif grâce à ses vertus antistress et antidépressives, le chocolat serait donc un véritable aphrodisiaque, à cause notamment du phényléthylamine. Cette substance, conjuguée à la caféine, à la théobromine et aux méthylpyrasines (acides aminés), stimule certaines zones du cerveau comme le fond les amphétamines. D'où ses pouvoirs " amoureux " connus depuis la nuit des temps : l'empereur aztèque Moctezuma en buvait cinquante tasses par jour ! Tout spécialement avant d'aller honorer les femmes de son harem.
 
 
D’après une étude italienne réalisée en 2004 sur 153 femmes, celles qui mangent du chocolat noir au quotidien ont plus de rapports sexuels et plus de désir que les autres ! Autre étude ,autre résultat, S'il leur fallait choisir entre sexe et chocolat, 34% des femmes préféreraient mettre leur libido en berne plutôt que leurs papilles… Manger du chocolat s'accompagne en effet toujours, particulièrement chez les dames, d'une connotation affective précise qui en fait un plaisir un peu " interdit ".
Une raison supplémentaire pour en manger un peu plus pendant les fêtes de Pâques et assurément tout au long de l'année! Mais comment le consommer ? Notre choix se porte sur le chocolat noir .Plus Il est noir et plus il est concentré en cacao, moins il contient de sucre. Le noir est donc plus diététique que le lait. Quant au blanc, il est très calorique, car essentiellement composé de graisse de cacao.

Vite un petit carré de "choc"! Notre nouvel allié santé, vitalité, bien être ….et séduction !Pensées gourmandes à vous.
Béatrice.




21/03/2010

Le plaisir guérisseur.


La guérison par le plaisir
Yvon Saint-Arnaud
Ce livre, fruit de plusieurs années de recherche scientifique, fait la démonstration que le plaisir est un élément à prendre en compte dans le traitement de maladies comme la dépression, le cancer, l'asthme et les maladies cardiaques.
Depuis plus de trente ans, Yvon Saint-Arnaud, docteur en psychologie, mène une étude rigoureuse sur les rapports entre le plaisir et la santé. À partir d'une définition originale du plaisir, empruntée à la scientifique américaine C. Pert, l'auteur propose d'intégrer le plaisir à la vie quotidienne afin de prévenir et de guérir des maladies très répandues aujourd'hui.


Le côté scientifique de cet ouvrage intéressera certes les spécialistes de la santé physique et mentale. Mais, plus largement, toutes les personnes soucieuses de la qualité de leur vie y trouveront un intérêt.
Elles y découvriront des moyens simples et concrets de jouir de la vie, en donnant toute leur place aux valeurs impérissables.
Évidemment, on se demande tout de suite de quels plaisirs il est question, et c'est là, sans doute, la contribution la plus originale de l'auteur : une réflexion extrêmement riche sur la nature du plaisir véritable qui, vite dit, est la capacité de « jouir du bien ».
Et est « bien » ce qui est propice à la santé et à l'épanouissement de l'être humain : nourriture, musique, danse, art, création, altruisme, amitié, sexualité ou prière, en autant que cela favorise l'harmonie du corps, du cœur et de l'âme.
Selon Saint-Arnaud, ces trois dimensions doivent nécessairement être engagées pour qu'il y ait plaisir (et non pas simplement excitation ou évasion). Plus telle ou telle valeur incarne le bien, plus sa jouissance est source de plaisir intense, et donc porteuse de pouvoir guérisseur.

Le plaisir est non seulement guérisseur, il est humanisant. L'homme d'action Saint-Arnaud voudrait que l'on redonne au plaisir la place qu'il doit absolument avoir dans nos vies si l'on veut réduire la souffrance du monde. Il n'y a pas beaucoup de thèses aussi inspirantes et stimulantes qui circulent de nos jours.
Dans son livre, « La guérison par le plaisir », Y.Saint-Arnaud parle de la jouissance d’exister . Être authentique, c’est être vrai à l’égard de ses désirs, de ses peurs, de ses besoins, de ses malaises et de ses rêves profonds ; c’est assumer sa différence et en être fier. On voit dès lors qu’il y a un contentement, une satisfaction et une joie à être ce que l’on est véritablement et profondément.
Alors ce que je partage avec vous cette semaine.
A notre tour de nous arrêter un instant et de nous demander :
« Qu’est-ce qui me ferait plaisir aujourd’hui, en ce moment même ? Quels moyens dois-je prendre pour me faire plaisir dorénavant ? Ai-je plutôt tendance à m’oublier, à remettre à plus tard le plaisir de lire un livre, de faire une promenade, de voir un film, d’appeler un ami, un parent, de prendre l’apéro avec quelqu’un que j’aime, de lui donner un rendez-vous doux, d’aller manger au resto et tutti quanti ? »
Tendrement à vous tous.
Béatrice.

 

14/03/2010

Epreuves ou Opportunités ?

Les difficultés représentent les meilleures conditions de développement pour celui qui sait les utiliser.
Beaucoup de circonstances apparemment désagréables sont des occasions uniques.
La première chose à faire est d’accepter l’épreuve. Il est en effet nuisible de se demander constamment "pourquoi moi".
Bien que ce soit difficile, chacun doit s’efforcer d’accepter et de surmonter les difficultés qui se présentent à lui. Quand nous acceptons nos épreuves comme une part inévitable de la vie, quand nous les percevons vraiment comme une opportunité de cheminement, nous ressentons un grand soulagement, parfois même une libération.

Les épreuves sont la fondation d'un niveau supérieur de compréhension. La vie est très riche de tout ce qui est nécessaire pour nous instruire.

Les gens les plus sages réfléchissent sur tout et utilisent tout pour le bien.
Il faut beaucoup de courage pour changer notre attitude face aux épreuves. Mais puisque nous devons faire face à des épreuves de toute façon, pourquoi de pas les utiliser pour cheminer ?

Voilà ...Ma version opportuniste  optimiste ...(mais pas toujours très sage) de la vie.
Et ma pensée de ce jour partagée avec vous.
Bien tendrement.
Béatrice.



"Il faut des moments de calme pour observer sa vie ouvertement et honnêtement...Passer ces moments seuls donne à ton esprit l'opportunité de se renouveler et de créer de l'ordre."
Suzanne TAYLOR
Extrait du journal -Essence -

07/03/2010

Tout est possible !

Dès lors que quelque chose est possible quelque part dans le monde, c’est également possible pour chacun d’entre nous.



Cela ne signifie pas que nous sommes prêts à mettre l’énergie et les ressources nécessaires. Si ça ne fait pas partie de notre objectif, nous n’avons aucune chance d’y arriver. Par contre, si cela devient la chose la plus importante pour laquelle nous avons mobilisé toute notre motivation, nous allons « soulever des montagnes » pour l’obtenir.

De plus, lorsque nous ne disposons pas des ressources dont nous avons besoin, nous possédons la capacité de les acquérir.
Les limites sur lesquelles nous butons ne sont généralement pas dans le monde réel, mais dans la représentation que nous en avons.
Il sera souhaitable de réfléchir sur la manière dont nous percevons la situation.
Nos croyances : Des alliées précieuses, nos pires ennemies aussi.
Nous avons tous des croyances, et souvent des croyances sur tout. Des croyances sur ce qu’il convient de faire, ou de ne pas faire, de dire ou de ne pas dire...Sur ce que nous sommes ...
Des certitudes sur nos capacités, sur la réaction des autres…
Pour illustrer le phénomène des croyances je vais vous raconter une petite histoire.



« Deux enfants jouent dans les vagues au bord de la plage. Rien ne les différencie. Ils sont du même âge, sont élevés dans la même ville et dans le même milieu, ils fréquentent la même école.
Ils adorent l’eau et s’amusent depuis plusieurs heures.
Tout à coup une vague plus grosse que les autres, les attrape et pendant un court instant les plaque au fond de l’eau avant de les faire remonter à la surface.
Un des enfants se relève en hurlant, terrorisé par ce qu’il vient de vivre et court se réfugier dans les bras de sa mère sur la plage.
L’autre sort de l’eau en riant aux éclats, heureux de la sensation procurée par la force de l’océan.
En une fraction de seconde l’un et l’autre viennent de développer une croyance totalement opposée qui va régir leur façon de penser, d’appréhender, de vivre « L’eau »….

Il en est de même pour LA VIE.





 
Soyons respectueux devant le possible,dont nul ne sait la limite.
Le possible,cette fenêtre du rêve ouverte sur le réel.
V.HUGO

Clin d'oeil le plus tendre à une personne exceptionnelle, très chère à mon coeur, à qui je dédie cet article et que je cite.
"Le possible se construit, l'impossible ne l'est pas toujours "
 

 
Clin d'oeil le plus doux à l'autre personne fabuleuse,très chère à mon coeur ...(Moi même)
Béatrice.
Souhaîtons nous un magnifique voyage ! Et comme il est court...Essayons de le faire en première classe !